Si d’aucuns considèrent que la relative petite taille de la parcelle est un désavantage, Sophie Fourcade-Reiffers, la co-propriétaire des lieux, gage qu’au contraire, elle est la clef de ce qui lui aura permis de travailler la vigne comme il n’est plus possible de le faire ailleurs et à son clos de se hisser à la hauteur des plus grands.
C’est avec le souci de ne surtout pas “dénaturer” ce terroir d’exception, qu’elle et son équipe ont réussi à trouver de nouvelles alternatives, mais également su tirer les leçons du passé quitte à accepter parfois de devoir y revenir.
« Ici, on jardine plus qu’on exploite.
C’est tout. »